Landes : la Région investit dans l’éducation, l’écologie, la santé, l’économie, l’agriculture, le numérique, le tourisme et le sport
Région Aquitaine Limousin Poitou Charente
Publié par renaud.lagrave - le 21/11/2019

Alain Rousset, président du Conseil régional de Nouvelle-Aquitaine, Renaud Lagrave, Vice Président et les élus régionaux se sont réunis en Commission permanente, ce lundi 18 novembre à l’Hôtel de Région à Bordeaux, et ont voté 441 dossiers pour un montant total de 613 254 647,48 euros.

Plusieurs dossiers-phare concernent les Landes, dont les suivants :

Travaux de rénovation d’un village de vacances à Soustons

L’association UCPA Sport Vacances est propriétaire du village de vacances de Soustons-Port d’Albret depuis 2012. Aujourd’hui, l’équipement construit en 2003 est vieillissant. Il n’a pas fait l’objet d’investissements structurants depuis près de 15 ans. Le centre est aujourd’hui exploité au maximum de ses capacités. Il peut difficilement développer son activité alors qu’il se situe dans un territoire touristique à fort potentiel, comme le souligne l’étude de faisabilité réalisée. L’hébergement compte actuellement 60 chambres, soit 186 lits. Après travaux, cette capacité d’accueil sera portée à 80 chambres, soit 222 lits. L’équipement compte actuellement quatre emplois permanents en CDI. Après travaux, l’équipe comptera six emplois permanents. Le Conseil régional de Nouvelle-Aquitaine soutient cette rénovation du village de vacances à hauteur de 250 000 euros.

Bien-être animal : réaménagement d’un bâtiment d’élevage à Audignon

La Société avicole de Chalosse (Socavic) est un couvoir spécialisé dans la production de poussins destinés à 75 % aux élevages « Label rouge » ou bio. Elle réalise un projet d’investissement sur les deux années à venir. Elle vise ainsi à obtenir des gains de productivité, tout en renforçant le bien-être animal. Elle pourra ainsi améliorer la qualité de ses produits, en conservant la classification « Label rouge » et bio, qui représente 75 % de son chiffre d’affaires. Le réaménagement du bâtiment d’élevage permettra de positionner le poste de ramassage à hauteur d’homme, et de réduire ainsi la pénibilité de ce poste. Il comprend également la rénovation du câblage et le remplacement de l’éclairage fluorescent par des leds. Ce réaménagement va permettre de ramener la densité animale à 8 poules par m2 contre 12 aujourd’hui. À titre de comparaison, la réglementation prévoit une densité limitée à 33 kg de poids d’animaux par mètre carré, soit environ 22 poules/m2. Pour ce réaménagement, la Région vote une subvention de 120 000 euros à la Socavic.

Encourager les circuits courts et une alimentation plus durable à Saint-Geours-de-Maremne

Dans le cadre de l’appel à projets « Circuits alimentaires locaux et projets alimentaires de territoire » pour 2019, le projet intitulé « Développement d’une stratégie partagée pour un modèle alimentaire durable et local sur le pays Adour Landes océanes » est prévu du 1er juillet 2019 au 31 décembre 2020. Ce programme correspond aux priorités de développement local partagées par le territoire et la Région Nouvelle-Aquitaine, dans le Contrat de dynamisation et de cohésion en cours de finalisation sur le périmètre du pays « Adour Landes océanes ». La démarche présentée par le Pôle d’équilibre territorial et rural (PETR), à Saint-Geours-de-Maremne, vise à structurer un projet alimentaire de

territoire, réunissant largement les acteurs et partenaires (collectivités, associations, réseaux professionnels et entreprises, citoyens) de l’amont à l’aval des filières, de manière à optimiser les synergies et les ressources mobilisées pour le développement des circuits alimentaires locaux et/ou bio, sur l’ensemble du territoire. Pour ce projet, la Région accorde une aide de 30 000 euros au PETR « Adour Landes océanes ».

Mise en valeur des producteurs locaux à Saint-Marie-de-Gosse

L’entreprise « Les délices du terroir de Seignanx », à Sainte-Marie-de-Gosse, a comme projet la construction et l’aménagement d’un magasin de producteurs. Dans le cadre de son Plan de compétitivité et d’adaptation des exploitations agricoles, le Conseil régional vote une aide de 31 250 euros à cette entreprise.

Aide régionale à l’investissement dans la filière du bio à Liposthey

Entreprise landaise fondée en 1958, les Fermes Larrère sont devenues en trois générations l’un des acteurs majeurs au niveau national de la production de légumes frais, cultivant désormais plus de 3000 hectares en France et en Europe, avec 172 salariés. Le projet de l’entreprise vise à accroître par les investissements la productivité et la compétitivité de sa filière Bio, puis d’étendre ces capacités à d’autres matières premières aujourd’hui effectuées en conventionnel, montrant ainsi l’exemple à toute une filière de producteurs rassemblés autour des valeurs du groupe. Les investissements porteront sur l’automatisation, la digitalisation et la modernisation à tous les niveaux pour une production de légumes biologiques connectée et réactive à tout instant. Le Conseil régional appuie ce projet avec une subvention de 502 765 euros à « Larrère et Fils ».

Aide à la conversion en agriculture bio à Labastide-d’Armagnac

Pour l’aider à sa conversion en agriculture biologique, la Région Nouvelle-Aquitaine vote une subvention de 17 526 euros à Liliane Laffargue, à Labastide-d’Armagnac.

Développement d’une ressourcerie à Aire-sur-l’Adour

Landes Ressourcerie est une association loi 1901 créée en 2014, et qui gère depuis 2015 une recyclerie agréée par la Dirrecte sous la forme d’un atelier-chantier d’insertion (ACI). Afin de permettre le développement de l’activité et l’amélioration des conditions de travail des salariés, la structure souhaite investir dans du matériel à destination de l’ensemble de ses ateliers et bureaux : véhicules de transport, cabine et outils de peinture, conteneur de sablage, matériel bureautique et petit outillage. La Région Nouvelle-Aquitaine soutient l’activité de Landes Ressourcerie, à Aire-sur-l’Adour, avec une subvention de 49 500 euros.

Insertion professionnelle par le sport dans un club de Mont-de-Marsan

Fort de plus 6000 licenciés, le Stade montois Omnisports (SMO) développe 34 sections de sport. Important acteur de la vie sportive de l’agglomération de Mont-de-Marsan, cette association développe des manifestations populaires comme le Moun Ride (3000 participants à ce raid multi-sports), et en 2017, la 1re édition du Marathon des Landes. Elle s’implique dans l’opération « Sport Santé sur ordonnance », tout en oeuvrant dans le sport de haut-niveau pour certaines sections. La structure est aussi organisme de formation, et réalise un brevet professionnel de la jeunesse de l’Éducation populaire et du Sport option « Activités gymniques de la forme et de la force (BP Jeps). Avec le projet « Prépasport », le SMO souhaite donner une nouvelle dimension d’insertion professionnelle par le sport. Par la réalisation d’une formation intégrant les pratiques et les valeurs du sport, appuyé sur un partenariat développé, le public ciblé développera des acquis sur les savoirs de base, des compétences professionnelles, et les codes sociaux nécessaires pour faciliter l’intégration professionnelle. La Région soutient ce projet et vote une aide de 75 000 euros au SMO, correspondant à 24 parcours de formation (soit 18 480 heures). Une aide de l’Union européenne de 149 226 euros, au titre du Fonds social européen (FSE), est également accordée au club.

Plan de formation dans une entreprise à Saint-Geours-de-Maremne

Facylities Multi-Services (FMS) est une entreprise adaptée qui voit le jour en 2008 à Mouguerre, et assure des services de sous-traitance informatique, de logistique, de reprise et traitement de stocks de vêtements de grandes marques de glisse, et de location-vente, sérigraphie et flocage de vêtements professionnels pour de grandes enseignes landaises et basques. Implantée depuis 2011 également à Saint-Geours-de-Maremne, elle compte aujourd’hui 200 salariés répartis sur les deux sites. Le plan de formation 2019-2020 de FMS est consacré à la structuration des pratiques professionnelles du périmètre informatique par le biais d’actions de formation ciblées afin d’améliorer les compétences de l’ensemble des salariés. La stratégie de développement de son département informatique prévoit sur un plan triennal le recrutement de 50 à 100 salariés sur des postes d’agents de support/développeurs informatiques. Il est prévu de former 100 salariés pour 7263 heures de formation. Le Conseil régional de Nouvelle-Aquitaine soutient ce plan de formation, avec une subvention de 74 775 euros à FMS.

Espace de vente directe pédagogique dans un lycée à Oeyreluy

Le lycée d’enseignement général et technologique agricole Hector-Serres, à Oeyreluy, reçoit une subvention régionale de 86 504 euros pour la construction et l’équipement d’un espace de vente directe pédagogique.

Poursuite de la mise en oeuvre du projet de santé dans le Mimizanais

Les professionnels de santé exerçant leurs activités sur le territoire de la Communauté de communes de Mimizan ont élaboré un projet de santé en collaboration avec cette dernière, et ont démontré la nécessité de regrouper les acteurs en un même lieu. Le projet consiste en la création d’une Maison de santé à Mimizan et d’un pôle avancé de la maison de santé à Pontenx-les-Forges. L’ARS a émis un avis favorable en septembre 2013. La Maison de santé à Mimizan est ouverte depuis mai 2017. Ce projet revêt un intérêt particulier dans la mesure où il constitue le point de départ d’une organisation nouvelle de l’offre de soins dans le territoire du nord des Landes, largement déficitaire. Ce projet de santé, qui repose donc sur une Maison de santé répartie sur deux sites, est accompagné par le Conseil régional avec une aide de 134 000 euros.

Un projet de maison de santé multi-sites à Aire-sur-l’Adour

La Communauté de communes d’Aire-sur-l’Adour se caractérise par son implantation sur deux régions et deux départements : la Nouvelle-Aquitaine et l’Occitanie ; les Landes et le Gers. La commune d’Aire-sur-l’Adour compte un Ehpad de 114 places, des services de soins infirmiers à domicile, deux cliniques dont une à visée psychiatrique spécialisée dans l’accueil d’adolescents, tandis qu’Eugénie-les-Bains est une commune thermale. La CDC est classée en vulnérabilité intermédiaire pour la Région. Ce projet de maison de santé pluri-professionnelle (MSP) multi-sites s’organise autour de ces deux communes. Plus de 40 professionnels de santé sont regroupés en association dont 9 médecins généralistes, 18 infirmiers, 2 masseurs-kinésithérapeutes, 2 sages-femmes, 1 chirurgien-dentiste, 4 podologues, 1 orthésiste, 3 pharmaciens. Le projet implique tous les médecins généralistes d’Aire-sur-l’Adour et d’Eugénie-les-bains. Pour ce projet de MSP, le Conseil régional vote une subvention de 200 000 euros à la CDC d’Aire-sur-l’Adour, à laquelle s’ajoute une aide de l’Union européenne de 195 640 euros, au titre de son programme de Liaison entre actions de développement de l’économie rurale (Leader).

Projet de création d’un tiers-lieu à Morcenx-la-Nouvelle

La Communauté de communes du Pays-Morcenais (CCPM) travaille depuis plusieurs années sur la création d’un tiers-lieu à Morcenx. Aujourd’hui, un groupe de co-workers s’est constitué. Ce groupe, qui a identifié ses besoins en termes de locaux et d’équipements, est en phase de consolidation de son modèle économique et de fonctionnement (forme associative), avec un soutien régional à hauteur de 60 000 euros dans le cadre de son appel à manifestation d’intérêt « Tiers-lieu ». Dans ce contexte, la CCPM, qui souhaite accompagner cette initiative, a proposé d’investir les anciens locaux du centre intercommunal d’action sociale. Ce bâtiment est en effet doté de la fibre optique, et permettrait de fédérer des activités liées à cet outil. Après échanges avec les porteurs de projet, un programme d’aménagement a été défini comprenant un espace de co-working, des bureaux, un fab lab, des sanitaires et un lieu de détente. Pour contribuer à la création de ce tiers-lieu à Morcenx-la-Nouvelle, le Conseil régional vote une aide de 81 000 euros à la CCPM, à laquelle s’ajoute une aide de l’Union européenne de 20 000 euros, au titre de son programme de Liaison entre actions de développement de l’économie rurale (Leader).

Travaux de restauration dans le clocher-tour d’une église à Capbreton

L’église Saint-Nicolas, à Capbreton, inscrite au titre des Monuments historiques, est composée de deux parties bien distinctes : l’église en elle-même datant du XIXe siècle et le clocher-tour dont les origines remontent au XVIe siècle. Celui-ci connaît actuellement de graves désordres, nécessitant des travaux urgents : le plancher du clocher qui soutient le beffroi en bois est en mauvais état suite à un effondrement partiel. Cela a conduit la commune à fermer l’édifice depuis 2017. Afin d’envisager une réouverture au plus vite, la commune souhaite entreprendre des travaux urgents, qui consisteront à la mise hors d’eau du clocher et de la tourelle. Les charpentes et les couvertures seront rénovées. Le beffroi sera remis aux normes, tandis que le plancher en bois de la chambre des cloches sera restauré, ainsi que les maçonneries de la chambre campanaire. La Région Nouvelle-Aquitaine soutient ces travaux de rénovation avec une subvention de 50 000 euros.

Poursuivre la stratégie de lutte contre l’érosion du littoral à Capbreton

Le littoral de la commune de Capbreton, et plus particulièrement le secteur sud, est sujet à des phénomènes d’érosion chroniques qui se traduisent par un recul progressif et aggravé du trait de côte, un abaissement de la plage et une érosion de la dune. L’origine principale en est la construction de la digue protégeant l’accès au port de Capbreton qui a freiné le transit naturel de sable nord-sud au nord, à Hossegor, et de fait, aggravé l’érosion au sud de la passe du port. On entre aujourd’hui dans la phase de réalisation des travaux sur le by pass de Capbreton. Afin d’éviter le transport de sable par camions, la commune a décidé d’installer un dispositif de transfert hydraulique du sable, depuis les plages au nord de la digue vers la côte sud de la commune. La stratégie a confirmé l’utilité de ce procédé et prévoit un prolongement sur l’ensemble des plages érodées ainsi qu’une réfection de l’installation. La Région continue d’accompagner cette stratégie de lutte contre l’érosion du littoral, avec une aide de 260 000 euros ; ainsi qu’une aide de 390 000 euros de l’Union européenne, au titre du Fonds européen de développement régional (Feder) dont la Région est autorité de gestion.

Aide à la gestion du trait de côte sur la côte mimizanaise

La stratégie régionale de gestion de la bande côtière a été établie sur la base des prévisions de l’Observatoire de la côte Aquitaine, par le GIP Littoral Aquitaine. Il organise la procédure destinée à organiser des scénarios de lutte contre l’érosion : divers choix de gestion sont déterminés pour lutter ou s’adapter au recul du trait de côte et aux submersions marines. Chaque stratégie locale aboutit à la présentation d’un programme d’actions opérationnel chiffré. La présente phase constitue la phase de réalisation des travaux après actualisation des coûts, et fait ici l’objet d’une aide régionale de 924 521 euros à la Communauté de communes de Mimizan. Cette subvention s’ajoute à celle de 336 795 euros déjà votée, et à l’aide de l’Union européenne d’un peu de plus de 3,5 M€, au titre du Fonds européen de développement régional (Feder) dont la Région est autorité de gestion.

Travaux pour améliorer l’efficacité énergétique d’une entreprise à Tartas

Rayonier AM, à Tartas, est un des plus importants producteurs au monde de cellulose de spécialités, raffinée à partir de la pâte de bois et utilisée dans la fabrication de dérivés cellulosiques aux applications multiples (encres, peintures, vernis, béton), produits utilisés par les industries pharmaceutiques, alimentaire, de la cosmétique et de la construction. Rayonier AM s’est engagé dans un contrat de partenariat et de croissance avec la Région Nouvelle-Aquitaine pour la transition énergétique, visant à réduire ses consommations énergétiques de 15 % d’ici 2021, soit 82 GWh. L’action-phare de cette troisième phase d’investissements est la réduction des consommations d’énergie fossile du site (gaz naturel et fioul). La chaudière à liqueur noire « STM » a été conçue pour brûler des liqueurs noires issue de la cuisson de pâte de rayonne et/ou de fluff. Cette troisième phase permet d’atteindre un total cumulé d’environ 54 GWh d’économie d’énergie depuis 2017, soit 10,3 % de la consommation d’énergie importée sur le site. Le Conseil régional octroie une aide de 538 901 euros à Rayonier AM pour cette nouvelle phase.

Optimiser la production et la valorisation du biométhane à Mont-de-Marsan

La régie intercommunale de l’assainissement de Mont-de-Marsan Agglomération, dans le cadre de son schéma directeur, a prévu la reconstruction de la station d’épuration de Jouanas, qui traite les effluents de la commune de Saint-Pierre-du-Mont et d’une partie de la commune de Mont-de-Marsan (capacité de 43 600 équivalent-habitants). Il a été décidé que le gaz produit par la digestion des boues et graisses issues du traitement de l’eau serait injecté après épuration dans le réseau de distribution de gaz. Outre la production de gaz vert, ce projet permet de réduire les nuisances environnementales en diminuant la quantité de boues à évacuer (la digestion permet de réduire d’un tiers le tonnage de matières sèches) donc le nombre de camions dédiés au transport des boues. Par ailleurs, le biométhane venant en substitution d’un gaz d’origine fossile, l’émission d’environ 610 tonnes équivalent CO2 sera évitée chaque année. La Région Nouvelle-Aquitaine vote une aide de 544 561 euros à Mont-de-Marsan Agglomération pour ce projet.

Réduire le bruit et les émissions de gaz des bus dans l’agglomération de Dax

La société publique locale Trans-Landes, créée en 2012, permet aux collectivités de bénéficier d’un outil mutualisé pour la réalisation des prestations de transport. Elle souhaite s’équiper de dix autobus fonctionnant au BioGNV pour le réseau de transport urbain de la Communauté d’agglomération du Grand Dax, qu’elle exploite depuis 2013. L’achat des dix autobus GNC neufs permettra de stopper d’un seul coup l’exploitation de huit autobus au gazole Euro IV (deux seront conservés en réserve). Les gains en matière de rejet de polluant et notamment en matière de particules fines, de NOx (oxydes d’azote) et de CO2 seront importants pour Dax et son agglomération. Cette technologie n’émet par ailleurs aucune odeur et fait deux fois moins de bruit qu’un moteur diesel. Le BioGNV est produit grâce à la méthanisation, ce qui en fait un carburant écologique. Pour cette acquisition, la Région Nouvelle-Aquitaine vote une subvention de 496 497 euros à Trans Landes.

Travaux de rénovation dans un lycée de Saint-Paul-lès-Dax

Le lycée Haroun-Tazieff gère un CFA « Bois et Habitat » qui dispense des formations sur quatre sites, dont le principal se situe au sein du lycée, à Saint-Paul-lès-Dax. Le plan pluriannuel d’investissement du lycée prévoit une opération de restructuration et d’extension du lycée pour un montant global de près de 11,8 M€. Le programme comprend la restructuration de l’administration et des locaux des professeurs, la construction d’un nouveau CDI et d’une nouvelle vie scolaire, la restructuration de l’internat, la restructuration de la demi-pension et son extension, et la construction des locaux agents. Le Conseil régional vote ici une aide de 1,624 M€ à cet établissement.

Rénovation des ateliers dans un lycée à Morcenx-la-Nouvelle

Le lycée Jean-Garnier, à Morcenx-la-Nouvelle, accueille près de 270 élèves et 60 apprentis dans les filières du bâtiment. Une première restructuration de l’externat, du centre de ressources et des salles de cours, a été réalisée en 2016. Il convient maintenant de restructurer la partie « atelier » et de l’agrandir, en raison notamment de non–conformités. Cette restructuration est conçue pour optimiser l’utilisation des espaces pédagogiques et notamment les plateaux techniques en intégrant les activités du CFA des Industries du Bois, historiquement situé à Seyresse. La Région Nouvelle-Aquitaine décide une subvention de 5 M€ au lycée Jean-Garnier, pour la rénovation des ateliers.